Le projet de révision de la loi Huriet-Sérusclat de 2003, tel que voté par l’Assemblée Nationale, a - à juste titre - provoqué des sueurs froides à l’industrie cosmétique, qui se voyait soumise à un système d’autorisation extrêmement contraignant.
Heureusement pour lesdits industriels, le Sénat a très vivement réagi contre la première mouture du texte qui pénalisait les industriels français par rapport à leurs homologues des autres pays de l’Union (1).
Finalement, la nouvelle loi Huriet-Sérusclat intègre l’amendement du Sénat et les cosmétiques échappent au régime d’autorisation imposé par ce texte loi (2).